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12 mai
Son autorité : sur la mort

Actes 2.24

Luc 8.52-56

Jean 11

Luc 7.11-17

 

Un homme (naïf) à un autre :

 

  • Eh, tu sais quoi ?

  • Non... mais tu vas me le dire...

  • Je suis meilleur que Federer au tennis ! Je peux le battre sans problème...

  • Ah bon !? Tu l’as déjà affronté ?

  • Non, jamais...

  • Tu l’as déjà rencontré de près au moins ?

  • Non... pas encore personnellement... Mais un ami de la cousine de ma femme oui !

  • ... Mais alors comment tu sais que tu peux le battre ?

  • Ben j’ai le sentiment que je suis meilleur... c’est tout !

  • Tu as le sentiment... ok... En tout cas tu le bats sur le domaine de la naïveté, ça c’est sûr !

 

Jésus a autorité sur la mort... Et ça ne se base pas simplement sur une impression ou sur un sentiment, mais ça se base sur son action. Parce que Jésus l’a rencontrée de très près, la mort. Il l’a non seulement rencontrée, mais il l’a déjà affrontée. Et de tous ceux qui l’ont affrontée – ils sont nombreux – il est le seul et l’unique à l’avoir vaincue. Jeu, set et match !

 

Pour avoir autorité sur la mort, il ne suffit pas de le dire ou de le penser. Il faut l’avoir vécue et vaincue. Seul Jésus a fait les deux.

Pour avoir autorité sur la mort, il faut l’avoir vécue et il faut l’avoir vaincue. Seul Jésus a fait les deux.

 

Dieu a ressuscité Jésus, il l'a délivré des douleurs de la mort,

car il n'était pas possible que la mort le retienne en son pouvoir.

Actes 2.24

 

Il n’était pas possible que la mort le retienne en son pouvoir... Parce qu’au fait c’est l’inverse : c’est Jésus qui la retient en son pouvoir, sous son autorité, la mort. Il lui fixe ses limites et il lui suffit d’une seule parole, d’un seul mot pour que la mort lui soit soumise.

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Jésus dit : « Ne pleurez pas, car elle n’est pas morte, mais elle dort. » Ils se moquaient de lui, sachant qu’elle était morte. Mais il les fit tous sortir, prit la jeune fille par la main et dit d’une voix forte : « Mon enfant, lève-toi. » Son esprit revint en elle et elle se leva immédiatement.

Luc 8.52-55

 

Jésus cria d’une voix forte : « Lazare, sors ! » Et le mort sortit, les pieds et les mains attachés par des bandelettes et le visage enveloppé d’un linge. Jésus leur dit : « Détachez-le et laissez-le s’en aller. »

Jean 11.43-44

 

Bien souvent, on la redoute tellement. Elle nous fait peur. Que cela soit pour nous ou pour celles et ceux qui nous sont chers, la mort signifie la fin. L’interruption. Le néant.

 

Mais pour Jésus, la mort ne lui fait pas peur, puisqu’il en est le maître. Elle ne lui fait pas peur pour lui, puisqu’il l’a subie et vaincue. Et puisqu’il l’a vaincue, elle ne lui fait pas peur non plus pour ceux qui lui sont chers – nous, son Église – puisqu’elle signifie le début de la vraie vie.

 

« Jésus savait que la seule façon de faire sortir Lazare du tombeau était d’y entrer lui-même. En effet, pour garantir la résurrection de tous ceux qui croient en lui, il doit entrer lui-même dans le tombeau. C’est ce qu’il a fait à la croix. »
Timothy Keller, « Pensées sur la mort et le deuil » (p. 60).

 

Jésus est monté sur la croix pour toi. Il est entré dans le tombeau pour toi. Et il en est sorti pour piétiner la mort, pour la ridiculiser. Alors qu’elle était un bourreau, il en a fait une simple porte qui mène vers lui ! Un simple passage – bien que difficile et douloureux, il est vrai – vers une vie où elle ne règnera plus et où son nom même sera inconnu.

 

Alors que la mort était un bourreau,

Jésus en a fait une simple porte qui mène vers lui.

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DU SAVOIR À L'AVOIR

Seigneur,

 

Permets-moi aujourd’hui de saisir la pleine implication de ton autorité sur la mort. Tu l’as vaincue pour moi. La mort en tant que telle n’a plus de pouvoir sur ma vie. Les pensées de mort non plus.

 

Bien sûr que je devrai la vivre et humainement je la crains, c’est légitime. Mais je prends conscience qu’elle ne pourra pas me séparer de toi. Et c’est tout ce qui compte ! Parce que c’est ça qui compte réellement pour l’éternité.

 

Merci pour ça !

Et merci d’ancrer cela profondément en moi. Dans mon cœur, dans mes pensées, dans ma vie.

 

Amen.

Un moi pour aimer mieux_logo.png

un MOI pour AIMER mieux

Il a suffi d’une parole à Jésus pour changer les choses. Pour amener la vie là où régnait la mort : « Sors ! Lève-toi ! »

 

Prends un moment pour demander à Dieu les endroits de ton existence, de tes relations, de ta vie spirituelle où il aimerait amener la vie. Si tu penses à une situation, à un recoin de ta vie éteint ou endormi, prie pour que la mort sorte de cet endroit et que la vie du Ressuscité puisse venir l’habiter.

Le témoignage du jour

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