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7 mai

Une sainte convocation

Ce jour-là, vous publierez une sainte convocation.

Lévitique 23.21

 

Pentecôte … elle est glorieuse, cette fête, dans tout ce qu’elle annonce, qu’elle contient en sens et en promesse dans l’Ancien Testament, et qui devient réel avec et depuis la première Pentecôte chrétienne en Actes 2 ! Fête de la Rencontre, Fête des Moissons, Fête des Prémices, fête du don de la Loi, fête du don de l’Alliance, et plus encore… vous allez le voir !

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Fête glorieuse, fête magnifique, une fête de joie, une fête des moissons où on se rappelle avec grande reconnaissance que Dieu pourvoit aux besoins de ses enfants par les céréales, les fruits, les légumes qu’il fait pousser sur la surface de la terre.

 

Fête glorieuse, fête magnifique, fête sainte. C’est une sainte convocation qui est envoyée, pour

fêter ! Comme pour nous rappeler que sainteté peut rimer avec joie et festivité.

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Pentecôte, une fête sainte, une fête consacrée. Avec des sacrifices offerts en holocauste (deux taureaux, un bélier, sept agneaux, une chèvre), et un sacrifice de communion, posé sur l’holocauste.

 

L’holocauste, littéralement, signifie que tout l’animal, sans défauts ni taches, était offert en sacrifice, et brûlé. Il ne restait rien. Tout était donné. Un sacrifice vivant. Un sacrifice total.

 

Le sacrifice de communion, par contre, était le seul sacrifice de l’Ancien Testament où la personne qui offrait le sacrifice était aussi bénéficiaire de ce qu’il offrait. Quand on offrait un sacrifice de communion, une petite partie seulement de l’animal était offerte à Dieu. Le reste était grillé pour pouvoir en profiter avec ses proches, sa famille, ses ouvriers, ses amis. Pour vivre un temps de communion, ensemble, une fête, une « grillade », en ayant conscience que cette communion était aussi un cadeau de Dieu.

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À Pentecôte, le sacrifice de communion était offert par-dessus l’holocauste.

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Comme pour nous rappeler que la véritable communion était précédée par un sacrifice total.

Comme pour nous annoncer, mille cinq cent ans avant l’oeuvre de Christ, que la communion avec Dieu et entre nous ne sera possible, réalisable, qu’une fois que le sacrifice total aura été apporté et accepté. Pas de communion sans holocauste. Pas de Pentecôte sans Pâques.

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Pas de communion sans holocauste.
Pas de Pentecôte sans Pâques.

 

Christ, notre sacrifice, notre Pâque, s’est offert. Totalement. C’est sa vie entière qu’il a offert, jusqu’à la mort, jusqu’à l’arrêt de sa vie. Il a donné sa vie en holocauste. Et, par-dessus ce sacrifice saint et sans défauts, nous déposons un sacrifice de reconnaissance… une vie de louange pour cette communion obtenue par Lui et vécue par nous. Sacrifice dont nous sommes les premiers bénéficiaires. Quelle grâce.

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À chaque Pentecôte de leur vie, les Israélites ont dû apprendre, sans forcément le comprendre, que la communion procédait de l’holocauste. Nous le comprenons, nous, maintenant, tellement plus pleinement. Quelle grâce.

 

La communion éternelle ressentie et vécue avec notre Dieu procède du total de la vie du Christ.

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Pas de communion sans holocauste. Tu as pourvu à l’holocauste, Jésus. Et tu pourvois encore à la communion. Grâce, honneur et gloire te soient rendues.

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Je t’offre mon sacrifice de reconnaissance.

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DU SAVOIR À L'AVOIR

Ecris une prière, avec tes mots.

 

Une prière de reconnaissance, pour ce cadeau infini de la communion éternelle avec Dieu.

Un moi pour aimer mieux_logo.png

un MOI pour AIMER mieux

Pour se rappeler la notion de sacrifices, cette prière que tu viens d’écrire, je t’invite à la brûler.

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Et pendant que la papier brûle, redis à Dieu ton désir de lui offrir ta vie en sacrifice.

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Et invite, pour ce soir, quelqu’un à vivre un temps de communion, un repas, pour vivre la joie de Pentecôte, la joie de la communion.

Le témoignage du jour

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